Le célèbre livre de Varg Vikernes sur la mythologie Scandinave enfin en Français.
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SURVIVALISME : comment ne JAMAIS tomber malade
Par défautA mes camarades Européens…
Comment perdre du poids, économiser de l’argent et ne JAMAIS tomber malade.
Comme vous devez le savoir, la vitamine D est extrêmement importante pour le système immunitaire humain.
Des niveaux de vitamine D adéquats vous protègent de pratiquement toutes les maladies.
Une carence en vitamine D est observable dans 77 % des types cancers, dans le diabète et d’autres maladies graves.
La vitamine D est un matériaux indispensable pour construire les défenses du système immunitaire, mais aussi pour que le métabolisme humain fonctionne correctement.
La vitamine D est synthétisée par votre corps quand votre peau reçoit la lumière du soleil.
Plus votre peau est claire, plus vite vous synthétiserez de la vitamine D en plus grande quantité.
Pour rester en bonne santé, vous aurez besoin de moins de soleil qu’une personne avec une peau plus sombre. C’est pourquoi les personnes de l’hémisphère nord et d’Europe ont une peau claire (car elle reçoivent naturellement moins de soleil).
Vous pouvez aussi absorber de la vitamine D par votre alimentation (graisse animale et foie d’animaux, et particulièrement les poissons gras et les animaux marins).
C’est pourquoi les populations Inuits et Esquimaux ont une peau et des cheveux sombres en dépit du peu de lumière solaire qu’ils reçoivent. Il a été démontré qu’ils reçoivent tous leurs besoins en vitamine D par leur alimentation.
De plus, des études ont montré que si ces peuples abandonnent leur alimentation traditionnelle (beaucoup de graisse d’animaux marins), leur santé se détériore extrêmement rapidement et ils commencent à souffrir de nombreuses maladies.
Comme les animaux, nous stockons la vitamine D produite en surplus en réserve dans le foie et la graisse…
En automne et en hiver, la luminosité décroit et plus de personnes tombent malades.
Avec l’automne et l’hiver et parce que nous essayons de vivre plus naturellement, j’ai commencé à prendre des bains froids (12°C, puis 10°C, puis 8°C, puis 4°C et parfois seulement 2°C) et j’ai lu sur ce sujet.
J’ai découvert que depuis toujours, il a été observé et démontré que l’exposition au froid renforce considérablement le système immunitaire.
Nous n’avons pas d’explication, mais c’est maintenant un fait prouvé.
Vous aurez plus de globules blancs, par exemple…
J’ai aussi appris que l’exposition au froid engendre une transformation d’une partie « graisse blanche » en « graisse brune ».
Cette graisse brune est une sorte de centrale énergétique dont le rôle est alors de brûler la graisse blanche pour réchauffer le corps. Cela se produit lorsque nous frissonnons.
En fait, les frissons sont un moyen de nous réchauffer avec les muscles, mais cela n’est pas très efficace et si vous utilisez vos muscles pour cela, vous ne pouvez pas les utiliser de manière efficace pour quoique ce soit d’autre.
C’est pourquoi lorsque vous frissonnez souvent, vos muscles envoient une alerte à la graisse qui met en marche votre « poêle d’hiver » pour ainsi dire : c’est le signe du changement de saison et que le corps va être exposé à de basses températures régulièrement.
Parce qu’ici en Europe, et en dehors de la société moderne, notre corps a naturellement besoin de s’adapter aux saisons et cela est naturellement fait pour s’y ajuster. Nous n’avons pas de fourrure, mais nous avons, comme les animaux qui hibernent, une centrale énergétique interne, un feu intérieur (probablement le TOUMO en yoga… le thymus platonique ?)
On ne s’explique pas pourquoi le froid est bénéfique pour nos corps, augmente nos défenses immunitaires et nous protège des maladies.
Et si c’était la vitamine D ? Et si, quand nous brûlons la graisse blanche dans notre centrale énergétique interne, nous libérions la vitamine D emmagasinée dedans ? Cela expliquerait pourquoi un bain froid est aussi agréable qu’un bain de soleil (une fois que vous y êtes habitués : une fois que votre centrale énergétique est allumée).
Informez-vous sur ce sujet et vous apprendrez beaucoup de choses.
Souvenez-vous que, comme les Inuits, nous, Européens, nous sommes adaptés à la nature de notre terre et la terre de nos ancêtres, et si notre comportement dérive trop rapidement de ce à quoi notre corps est adapté, nous tomberons malades.
Souvenez-vous que 10 000 ans avant notre époque, et il y a des centaines de milliers d’années, ici en Europe, il faisait bien plus froid.
Appelez le Toumo, thymus, centrale énergétique interne, feu intérieur, nos ancêtres savaient comment mettre en marche les éléments nécessaire à leur survie en hiver quand ils ne disposaient même pas (n’avaient pas besoin) d’une hache…
Vous êtes Européens, vous êtes faits pour le froid, les grottes et les forêts et vous survivrez dans le froid, les grottes et les forêts.
En conséquent, toutes nos traditions sont basées sur le froid, les grottes et les forêts.
PS : améliorer votre système immunitaire signifie aussi que vous tolérerez mieux les bactéries dans l’eau souillée, par exemple, ou d’autre problèmes potentiels dans un monde moderne en déclin.
Et non, les vitamines D de synthèse ne sont pas aussi efficaces…
Donc… il n’y a rien à vendre…
A propos des traditions
Par défautJ’ai reçu beaucoup de questions concernant les traditions. Et j’aimerais seulement dire que nos traditions sont la somme des connaissances de tous nos ancêtres. Ce sont les connaissances accumulées de nos ancêtres, C’est ce qu’ils ont essayé et ce qu’ils ont considérés être le mieux.
A tous ceux qui remettent en question la valeur de ces traditions, j’ai juste envie de vous poser une question toute simple : qui êtes-vous pour penser que vous savez mieux que tous nos ancêtres ?
Par exemple, dans toute l’Europe, les femmes de l’ère pré-chrétienne qui étaient mariées ou fiancées se couvraient la tête avec un voile ou un foulard.
Cette tradition Européenne provient du fait qu’en faisant ça, on se protégeait contre les poux. Seules les femmes non mariées se risquaient à laisser leur chevelure lâchée, dans le but d’attirer l’attention des hommes. Les autres femmes ne faisaient pas ça. Personne ne forçait personne à porter un voile ou un foulard sur la tête : les femmes avaient assez de bon sens pour se couvrir la tête de leur propre chef, et elles étaient heureuses d’agir ainsi. Dans l’Egypte ancienne, elles se rasaient plutôt la tête et portaient des perruques, toujours dans le même but d’éviter les poux.
Nous n’avons pas le contrôle sur le système éducatif (mais nous pouvons faire l’école à la maison), nous n’avons pas le contrôle sur la presse écrite (mais nous pouvons trouver des infos meilleures et dans lesquelles ont peut avoir confiance sur Internet, enfin pour l’instant), nous n’avons pas le contrôle de tout ce qui touche aux loisirs (bien qu’il existe des exceptions, comme Burzum et MYFAROG 😉 ).
D’autres ont le contrôle de tout ça. Donc, quelqu’un d’autre essaie de se débarrasser de nos traditions, ou essaie de nous faire nous débarrasser de nos propres traditions, voilà le problème.
L’exemple que j’ai utilisé plus haut n’est qu’un exemple de nos traditions. Nous avons beaucoup de traditions, et nous avons besoin d’en mesurer les valeurs, de les comprendre et de toutes les adopter, tout comme nous devons nous comprendre nous-mêmes et ce que nous sommes.
Nous n’avons aucune raison de vouloir nous débarrasser de nos traditions. Elles sont bonnes, elle sont la somme des connaissances de nos ancêtres, elles fonctionnent, elles fonctionnent pour nous. Ce dont nous avons besoin de nous débarrasser, c’est tout ce qui tourne en ridicule, tout ce qui piétine, tout ce qui va à l’encontre ou détruit NOS traditions. Les choses comme « Hollywood, le libéralisme, le féminisme, le multiculturalisme, le Christianisme, l’Islam et les choses similaires.
Nos traditions viennent de notre sang, de notre culture, de notre nature païenne, de nous. C’est une partie intégrante de ce que nous sommes, nous ne pouvons nous en débarrasser. Si nous le faisons, nous nous perdons nous-mêmes.
Varg Vikernes
Le rôle des femmes
Par défautVidéo de Marie ici
Texte:
A toutes mes sœurs…
Quand il est question du rôle des femmes, c’est comme si nous, Européens, étions en grande difficulté. Nous ne connaissons même pas vraiment, en fait, le rôle des femmes dans notre histoire ou dans la préhistoire.
Le rôle des reines est assez obscure et certains étranges féministes vous laisserons clairement penser qu’elles n’étaient là que pour paraître belles, créer une alliance avec le roi d’un autre pays, donner naissance à un héritier, et ensuite, parce qu’il en fallait bien une.
Pour ce qui est des fermiers, on apprend plus ou moins qu’ils devaient payer pour marier leurs filles.
Mais je vais vous montrer pourquoi tout cela est FAUX.
Je vais vous montrer ce que nous avons fait pendant toutes ces années…
Et ce que nous devrions faire…
Si ce n’est qu’elles n’avaient pas à payer pour se marier à qui que ce soit, les femmes recevaient simplement une succession lorsqu’elles se mariaient, tout comme le fils héritait de la terre.
La tradition et l’organisation de la société voulait que les femmes reçoivent des objets domestiques de grande valeur. C’était donc un moyen de combiner les traditions et coutumes des deux familles afin que personne ne se sentent lésé ou déraciné.
Mais attendez. Les filles nobles, que faisaient-elles ?
Elles apprenaient… C’est ce qu’on appelle « recevoir une éducation ».
Depuis les temps anciens, les filles devaient apprendre. Une fille non éduquée n’était pas noble.
Jusqu’à récemment il était, dans les cercles nobles et bourgeois, demandé qu’une femme puisse parfaitement jouer du piano et connaisse toute la littérature européenne. Elles devaient tout autant maîtriser l’art visuel.
Idéalement, elles devaient parler plusieurs langues et, contrairement à aujourd’hui, il était normal, commun, et très positif qu’une femme soit capable de soutenir de longs dialogues philosophiques.
Ces occupations tenaient, sous Louis XIV par exemple, une part du programme quotidien de la reine et des dames.
Mais pourquoi disent-ils que les filles ne reçurent une éducation qu’à partir du XXème siècle ?
Ils essaient vraiment de vous faire croire cela, mais en fait elles n’ont reçu que la même éducation que les garçons depuis le XXème siècle.
C’est une chose tout à fait différente.
Avant, à part les tâches domestiques et intérieures (comme les hommes apprenaient les tâches extérieures), les filles apprenaient les textes anciens, les traditions et la philosophie et le divin.
Plus leur rang était élevé, plus elles devaient être éduquée, mais cela est pareil pour les garçons.
Les fermiers ne pouvaient pas éduquer leurs filles de manière noble, tout comme ils n’avaient pas l’opportunité d’apprendre à leurs garçons la chasse ou à devenir chevalier.
Le rôle des reines qui est peu connu était de préserver le passé.
Depuis l’Égypte ancienne, le rôle des femmes nobles est directement lié au divin, elles sont chargées de veiller à ce que les rites et les traditions soient respectés.
C’est Isis (la reine ou la femme noble) qui cherche et ramasse les morceaux du corps d’Osiris et les porte à son frère Anubis pour le reconstruire, le momifier et le faire revivre.
Ce rôle est un résumé.
La femme donne naissance et entretien.
L’Antigone de Sophocle exprime clairement ce rôle aussi :
Antigone mourra plutôt que de laisser son frère sans sépulture.
Elle est directement liée au divin qui la soutien dans son combat. Le mort doit être enterré.
La femme donne naissance à la vie et est elle-même une image du passé.
La reine d’Egypte était Isis. Isis, comme la reine, est dévouée à assurer que le descendant légitime du trône l’obtiendra.
C’est une gardienne et une arbitre des valeurs et des traditions.
La femme, la reine, doit assurer que l’héritier légitime succédera sur le trône, quelque soit son âge ou sa stature.
Même dans la Bible, la femme apporte le fruit de la connaissance, et nous comprenons alors pourquoi l’Eglise a tout fait pour bâillonner les femmes…
La même chose se produit aujourd’hui avec la religion moderne : la psychologie moderne montre la mère biologique comme une menace potentielle pour l’enfant.
C’est aussi pourquoi nous entendons tellement parler des « sorcières » brûlées vives.
Elles essayaient de garder et préserver les traditions et, répondant à leurs plus profonds instincts, les gardaient tels qu’elles étaient, et jusqu’à la mort.
Ce sont les femmes qui ont conservé les anciens contes d’Europe, et toutes les traditions européennes, en les racontant aux enfants et aux autres, de génération en génération sans en perdre un mot.
Ce sont les femmes qui décoraient toujours la maison pour Yule, et c’est toujours elle qui le font aujourd’hui.
Ce sont les femmes qui, depuis des millénaires, préparent les mêmes gâteaux au miel pour la fête de Yule.
Pensez-vous que ce ne sont que des détails ?
En fait, il n’en est rien.
Parce que ces détails, et pratiquement rien que ces détails, nous donnent l’opportunité de retourner dans le temps à l’Age de pierre, jusqu’à la plus vieille religion qui soit, jusqu’à la vérité de nos ancêtres.
L’écriture était aussi une façon pour l’Église de contrôler ce qui était dit dans les familles. En développant les livres, à travers les moines, l’Église envoya des histoires finies, prêtes à lire et à raconter.
Au lieu de raconter les histoires traditionnelles, nous nous assurions que les familles, et spécialement les femmes, lisent les histoires prescrites. Il devint habituel de lire la Bible le soir.
L’écriture, qui est considérée comme une chose masculine, apparue avec l’extinction des tâches féminines.
Les contes traditionnels européens se perdirent lorsqu’ils furent posés par écrit. Avant, il n’y avait nul besoin de les écrire car ils étaient racontés de génération en génération des femmes à leurs enfants et des reines aux rois.
Donc les livres ont tué les traditions, et les traditions ont tenté de revivre dans les livres, à travers les hommes, mais racontées et dépeintes par des femmes qui les connaissaient encore.
Bien sûr, l’Église a aussi utilisé les femmes pour préserver et maintenir ses propres traditions.
Quoiqu’il en soit, elle n’a jamais réussi.
Le Christianisme n’a jamais été entièrement Chrétien, et pratiquement toutes les traditions païennes ont été préservées jusqu’à aujourd’hui. Légèrement modifiées et surtout biaisées, mais réellement incroyablement similaires.
La femme peut prendre les armes mais ne sera jamais l’égale de l’homme, comme les féministes le voudraient, mais elle ne devrait le faire que pour défendre le divin, les traditions et l’héritage.
C’est le cas bien connu de Jeanne d’Arc, l’Antigone moderne, qui sauva le couronnement (divin) du roi légitime.
Elle agit en fait comme une régente.
Jeanne d’Arc ne répondait pas directement à l’Église, mais au divin.
Les reines étaient des patrons. Elles prenaient garde de contrôler et de choisir l’art.
La Reine devait être de « bonne famille » et bien éduquée, non pas parce que cela était agréable, mais parce que son rôle était précisément de se souvenir, de comprendre, préserver, contrôler, maintenir et organiser les traditions.
C’est aussi pour cela que toute femme noble devait être éduquée dans tous les arts.
C’est aussi pour cela qu’ils croyaient toujours les jeunes filles, particulièrement les vierges, et c’est pour cela qu’ils ne pouvaient les contredire. Cette foi, cet amour de Dieu (le divin) n’était rien d’autre qu’un pur instinct dédié au passé, aux ancêtres, aux règles et aux traditions.
Si elles n’étaient pas occupées par d’autres intérêts (amour), cet instinct était considéré comme pur et divin.
Les vierges n’entendaient pas de voix, elles rencontraient leur instinct.
L’Eglise, en chassant et en brûlant les « sorcières », essaya durant son développement à travers l’Europe, de se débarrasser du « problème de la femme », mais n’y réussi pas.
Face à cet échec, elle considéra que les femmes étaient dangereuses et les garda enfermées et silencieuses, et essaya d’en faire ses alliées, mais pour y parvenir l’Église dû faire d’importantes concessions.
La Chrétienté fut forcée de devenir plus européenne.
Aujourd’hui, ils ont oublié cela, mais ils opposent la femme à l’homme, et l’homme à la femme, et ils montrent l’homme comme tortionnaire des femmes.
Il est souligné que la femme est le sexe faible… Le sexe faible, oui, sans doute.
Il est souligné que la femme était sous la tutelle paternelle et ensuite sous la tutelle de son mari.
C’est une façon de voir.
Personne n’était sous tutelle au sens d’esclave.
Elles étaient protégées, c’est assez différent.
Non, la femme n’était pas une entité politique, à quelques rares exceptions près pour certaines raisons spécifiques ou directement traditionnelles (comme Jeanne d’Arc), non elle n’était pas faite pour gouverner, et oui, elle était faite pour rester derrière l’homme.
Qui mettrait une femme au front ? Ce n’est pas seulement une tactiques très douteuse, mais aussi une honte. Le roi est surtout le chef de l’armée et un chef féminin n’aurait effrayé personne.
Bien sûr, les passions féminines peuvent directement leur nuire et sont souvent incompatibles avec la guerre et la défense (le rôle du roi) pour lesquelles les passions masculines (la fureur) sont souvent une force directe, mais en fait, les passions des deux sexes s’annulent et se complètent quand elles sont unies.
L’homme assure la défense et la protection du passé : la femme, qui assure que cette fureur est dirigée dans la bonne direction.
En effet, qu’est-ce qui nourrit le roi, excepté son royaume, son peuple, sa tradition et ses ancêtres ? La femme prend soin de l’intérieur et l’homme de l’extérieur. Un être qui serait porteur de ces deux qualités en même temps ne serait pas aussi effectif.
Aujourd’hui, néanmoins, les deux entités font défaut.
Le monde n’est ni masculin ni féminin, il est passion, nocif et faible, parce que les deux sexes, au lieu de s’allier en rang serré, sont projetés l’un contre l’autre, et cela, afin que l’escalade de leurs passions les sublimes dangereusement.
Il a été retiré à la femme son rôle le plus essentiel pour donner tout son intérêt aux passions qui peuvent l’attirer.
Il a été retiré à l’homme son rôle le plus essentiel pour donner tout son intérêt aux passions qui peuvent l’attirer.
La beauté de la femme et l’importance passionnelle qu’elle peut avoir, est initialement un outil pour (au-delà de l’attraction purement liée à la reproduction sexuelle) assurer sa protection et attirer l’amour du passé.
Si cette beauté est utilisée uniquement pour elle-même, cela est vulgaire.
Aujourd’hui, seule cette beauté (qui n’en est plus une) est mise en avant.
La femme ne devrait pas vivre selon sa beauté mais utiliser sa beauté pour son rôle essentiel.
Il en est de même de la fureur et de l’ambition, les passions masculines et de l’importance que cela devrait avoir. C’est initialement un outil pour (au-delà de l’attraction purement liée à la reproduction sexuelle) assurer la protection et la défense de sa famille, de son peuple, ses ancêtres et son passé.
Si cette fureur et cette ambitions sont utilisées seulement pour elles-mêmes, elles sont vulgaires.
Aujourd’hui, seules cette fureur et cette ambition sont mises en avant.
L’homme ne devrait pas vivre selon sa fureur et son ambition, mais utiliser ces passions pour son rôle essentiel.
Il doit être dur et effrayant, et il doit avoir une barbe pour montrer son âge et sa force, et pour ne pas ressembler à un enfant comme ils le veulent aujourd’hui.
Bien sûr, essayer d’intervertir les deux comme c’est parfois le cas aujourd’hui, est encore pire. Comme expliqué dans l’article que j’ai écrit sur www.atala.fr : « L’homme aux yeux sages », l’homme ne devrait pas être mignon, il ne devrait pas inspirer la pitié.
La femme, pendant ce temps, ne doit jamais utiliser ses attributs pour distraire les hommes, mais plutôt pour les guider.
C’est pourquoi elle ne devrait pas se cacher, mais elle ne devrait jamais être vulgaire.
Il est terrible de voir que certains camarades Européens défendent le fait que la femme blanche est d’abord et avant tout une soit disant « femme libre », et qu’elle a le droit d’aller et venir dehors à moitié nue si elle veut.
Ce n’est pas ce pour quoi nous nous battons, ce n’est pas la liberté. Nous ne nous battons pas pour ce qu’ils appellent le « progrès », nous nous « battons » pour sauver le cœur de nos ancêtres.
J’espère inspirer mes sœurs, mes camarades femmes.
La plupart d’entre vous sont de très bonnes et belles femmes…
Beaucoup parmi vous veulent que les hommes soient de vrais hommes à nouveau, mais ils n’ont besoin que de VOUS pour « combattre ».
S’il vous plaît, dans ce monde mourant, s’il vous plaît faites votre travail.
Ne laissez pas le cœur de nos ancêtres nous être pris !
S’il vous plaît, utilisez votre beauté pour inspirer les hommes et s’il vous plaît, faites attention à ce que les traditions soient respectées… jusqu’à la mort.
S’il vous plaît, en tant que femme ou homme, partagez cette vidéo autant que vous pouvez.
L’alternative à la démocratie
Par défautVous avez déjà dû entendre ça : « la démocratie n’est pas parfaite, mais c’est ce qu’on peut avoir de mieux… ». Est-ce vraiment le cas ? C’est ce qu’on va voir !
« Si le despotisme a échoué seulement par manque d’un despote bénévole et compétent, quelle chance a la démocratie qui demande toute une population d’électeurs compétents ? » George Bernard Shaw
L’alternative à la démocratie, c’est le tribalisme !
Le Tribalisme :
– Une unité naturelle (la tribu) à la place d’une unité artificielle (c’est à dire les parties politiques)
– La sélection au lieu de l’élection.
– Les lois « barbares » au lieu des lois romaines
– L’amélioration de l’Homme plutôt que l’amélioration des aides qu’il utilise.
– Un Homme libre et sauvage au lieu d’un esclave apprivoisé.
Bien sûr, cela ne marche que pour une population réduite, avec des gens qui ont des liens entre eux à l’intérieur d’une même tribu d’une manière ou d’une autre. Nous vivions et nous nous portions bien avec le tribalisme pendant des milliers d’années.
Le tribalisme nous rend meilleurs, plus intelligents, plus compétents, et même plus beaux.
Pour l’avenir proche, je pense que seule l’anarchie peut fonctionner : et ça ne servira qu’à mettre en miette leur monde et détruire cette « démocratie » pourrie, et ça nous donnera la possibilité de former à nouveau des tribus, qui dureront encore quelques milliers d’année au moins.
Nous aurons probablement besoin de quelques centaines de milliers d’années pour réparer tous les dégâts que nous avons causés avec cette « démocratie » moderne (et encore plus par les religions Abrahamiques).
« L’état sauvage est l’état naturel de l’humanité. La civilisation n’est pas quelque chose de naturel. Elle ne vient que d’un concours de circonstances L’état sauvage finira toujours par triompher. » Robert E.Howard
Vous pouvez regarder mes vidéos (en anglais) « Le Seigneur et la dame » (« Lord and Lady ») ou « Le roi et l’Idole » (« The King and the Idol ») pour en savoir plus sur le tribalisme. Ou bien vous pouvez aussi lire ce livre :